lyrics
Drapée dans ce manteau neigeux,
La temporalité n'est plus qu'un jeu,
Pour lequel tu n'as plus d'affinités,
Infini et plus si affinités,
Et ton être comme cette fleur,
Tu n'en a gardé que la rosée,
Alors à l'aube dans la matinée,
Tu t'évapores, tu t'es évadée,
Et dans ta solitude tu te plais et tu n'te plains,
Cette plaie qui ne se fermera, sur laquelle elle a mis le doigt,
Elle t'entoure t'as assiégé, elle te tient,
Mais n'oublie jamais tes lendemains, mais n'oublie jamais tes lendemains,
Tu as présenté ta démission,
Je m'y étais pourtant opposé,
Et puis t'avais encore du temps,
Pour réfléchir avant de foutre le camp,
Les mouvements de ton corps en exhalaison,
Les baisers de tes yeux comme un abandon,
Les dernières larmes posées sur mes lèvres, portaient en toi une saveur mièvre...
Enfin le verdict en suspend,
Ta vie suspendue au bout de ce noeud,
Coulant, croulant sous le poids de ton tord,
Moi me débattant, vapeurs de ton corps,
Dans les vapeurs de ton corps
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